Comment tout à commencé ?

L’impact écologique

Tout à commencé en 2005 dans un café à Shanghai, là où Lola avait ses habitudes. À cette époque les gobelets jetables faisaient leur loi dans le paysage public, signe d’une ville en plein essor.
Lola s’est ainsi inquiété du volume d’emballages consommés, en particulier celui des gobelets jetables. En effet, doublés de polyéthylène, ils n’étaient pas recyclables. 

L’impact écologique a donc été un veritable moteur pour Lola qui décida de se lancer dans ce pari fou. Un pari avec un objectif simple : concevoir des tasses réutilisables qui permettent de conserver toutes les saveurs du café tout en faisant un geste pour la planète. La facilité d’utilisation, une fabrication à faible impact et l’esthétique du design étaient les maîtres mots pour un but ultime : faire ÉVOLUER les mentalités. C’est ainsi que l’Eco-Mug allait voir le jour.

La révolution est en marche

 

mug-logo

Les premières tasses Eco-Mug ont été vendues aux amateurs de café à Shanghai en 2009, lors d’un marché de design indépendant. Ils ont tout de suite reconnu que les gobelets Eco-Mug étaient la solution pour stopper la consommation des emballages à usage unique. Le mouvement s’est tout d’abord développé sous l’impulsion des consommateurs. Puis, rapidement, ce fut au tour des cafetiers et des torréfacteurs d’emboîter le pas.

À ce jour, les gobelets Eco-Mug sont vendus dans plus de 50 pays dans le monde et ainsi grâce à notre tasse, ce sont des millions de gobelets jetables qui ne finissent plus dans la nature. Pour beaucoup de nos clients, l’utilisation de l’Eco-Mug a été le début de leur voyage afin réduire leur impact écologique sur la planète.

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des dêchets atterissent dans les océans

de gobelets jetables sont utilisés chaque année

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des gobelets finissent dans les décharges

L’impact écologique

Le plastique, ce n'est pas fantastique

Le plastique est une véritable catastrophe et à l’approche de l’été souvenez-vous que 85% des déchets retrouvés sur les plages sont des plastiques. Un million et demi d’animaux meurent chaque année à cause du plastique dans les océans. Ainsi, une partie de ces animaux arrivent dans nos assiettes, et on ne connaît pas encore précisément ces conséquences sur la santé humaine. A ce rythme, l’ONU estime qu’il y aura autant de poissons que de plastiques dans les océans en 2050 !

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    1. Nous ingérons tous du plastique !
    Un être humain pourrait ingérer 5 grammes de plastique par semaine.

    Les microplastiques contaminent l’air que nous respirons, les aliments que nous mangeons et l’eau que nous buvons. D’après une nouvelle étude de l’Université de Newcastle, un être humain pourrait ingérer environ 5 grammes de plastique chaque semaine soit l’équivalent de la quantité de microplastiques contenue dans une carte de crédit.

    Ce chiffre est issu d’une analyse d’études existantes sur l’ingestion de plastiques présents dans l’air, l’eau et la nourriture. Les effets à long terme de l’ingestion de grandes quantités de plastique sur notre santé ne sont pas clairs, mais des études sont en cours. Ce problème n’est qu’un aspect d’une crise bien plus vaste, ayant des conséquences environnementales et économiques importantes. C’est pourquoi le WWF appelle à une action globale de tous les acteurs.

    2. Nous avons besoin d’un accord universel contre la marée de plastiques qui asphyxie nos océans

    Seuls 9 % des déchets plastiques ont été recyclés dans le monde.

    Les plastiques nous envahissent. Des plages d’Indonésie jusqu’en Arctique, ils étouffent silencieusement notre planète. La Méditerranée est en train de devenir un piège de plastiques avec des niveaux records ce qui menace les espèces marines et notre santé.  Une majorité des plastiques ne sont utilisés qu’une seule fois avant de se transformer en déchets. Les plastiques ont contaminé les terres, les rivières et les océans.

    Mais heureusement, nous sommes aussi de plus en plus nombreux à agir contre cette pollution. 

    Le papier, ce n'est pas vraiment mieux

    Rien qu’en France, la consommation de papier représente à elle seule 8,8 millions de tonnes par an, soit l’équivalent de 279 kilos de papier par seconde.
    À l’heure où le commerce électronique et l’économie numérique ne cessent de croître, beaucoup de personnes prennent conscience de l’impact écologique de la production de papier sur l’environnement. Afin de réduire la consommation de papier, nous faisons des efforts, mais le chemin est encore long avant de se débarrasser totalement de cette dépendance.

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      1. Gâchis de papier : l’arbre qui cache la forêt

      Des journaux en passant par les papiers cadeaux, le papier est encore présent partout dans notre société. Malheureusement il finit très souvent en un terrible gâchis au fond de nos décharges. Il fut un temps où le papier était un bien rare et précieux ; maintenant, il abonde littéralement partout sur le globe.
      Initialement inventé et pensé comme un moyen de communication, le papier est aujourd’hui largement utilisé dans toutes les industries. Produire du papier consomme 2 fois plus d’énergie que produire un sac en plastique.

      Il faut bien avoir conscience que quoi que l’on produise, cela consomme de l’énergie. C’est ce que l’on appelle l’empreinte carbone. Concernant le papier, sa production implique de couper des arbres. La déforestation est l’un des problèmes environnementaux majeurs auquel nous faisons face ces dernières années. La déforestation sera un défi pour les générations futures. La récolte mondiale de bois est consacrée à 14 % à la création de papier.
      Existe-il des moyens pour les préserver ? 

      Nous sommes tellement habitués à consommer nos produits dans leur forme finale que nous nous interrogeons rarement sur la manière dont ils sont fabriqués. Mais, demandons nous également ce qu’ils deviennent après leur utilisation.

       

      2. Les effets nefastes du gaspillage de papier

      Évidemment, notre consommation irraisonnée de papier a pour première conséquence la déforestation. Heureusement, des groupes de protection et de conservation ont fait un incroyable travail de protection des forêts.
      Cela représente un grand progrès et une belle évolution pour l’humanité, quand on réalise le temps qu’il faut à un arbre pour grandir jusqu’à sa taille maximale.

      Nous commençons seulement à réaliser le gaspillage que nous faisons de nos arbres, ces mêmes arbres qui fournissent la majorité de notre oxygène, et protègent notre planète d’un réchauffement climatique.
      La pollution par le papier est un autre sérieux problème lié au gaspillage de papier. On estime qu’en 2020, les papeteries produiront 500 millions de tonnes de papier et de carton chaque année. Bien entendu, c’est un produit dont nous avons encore besoin, et la réduction importante de son usage ne semble pas à l’ordre du jour.

      Le papier est la troisième industrie la plus polluante de l’air, de l’eau et des sols. Lors de la production de papier, des agents de blanchiment à base de chlore sont utilisés, ce qui libère des matières toxiques dans l’eau, l’air et le sol. Le papier qui pourrit émet du méthane, qui est 25 fois plus toxique que le CO2.

       

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